Qui n’a jamais eu peur??

Peur de se tromper, peur d’échouer?!

« Appréciez d’échouer, et apprenez de l’échec, car on n’apprend rien de ses succès. »

James Dyson

Parfois même, à force d’y penser, peur de ne jamais tenter.
Il m’est arrivé d’essayer mais de ne pas aller jusqu’au bout de ce que je souhaite. Certains parleront de lâcheté, d’autre d’hésitation… et quelque soit le mot que nous utiliserons : le sentiment qui s’y cache est bien la peur.

Alors comment les croyances de notre passé arrivent elles à bout de certaines prises de décisions? Et surtout est ce possible de les mettre à profit de nos futures peurs?

Je pense que oui! Il est toujours possible de changer en faisant de notre mieux, en fonction des circonstances et de notre attitude dans l’instant présent. Adaptant chaque action à sa situation, nous sommes capables de nous jouer de la peur paralysante.
Parce que ces peurs sont bonnes, elles sont ici pour nous rappeler un danger, comme une alerte : « attention! tu as déjà vécu cela » dans une autre situation, et dans un autre contexte. Cette fois, c’est différent, tu sais que la peur n’évite pas le danger. Et pose toi la question, y a-t-il un réel danger? (si oui, reste prudent! mais si non, agit!!!) Il serait dommage de garder ce que l’on ressent.
Répondre à la demande des sentiments, peut aussi nous ramener à la rencontre de nous mêmes, nous permettre ainsi de mieux nous connaitre et mieux nous comprendre.
Ancrées en nous depuis le commencement de notre création, nos attentes face à ce monde nouveau qui s’ouvre à nous, ont été modifié. A l’image des personnes qui auront croisé notre chemin, nullement par hasard, et qui auront fait de nous les individus d’aujourd’hui. Les peurs d’hier ont un effet sur les décisions à prendre, pour agir, à condition de les mettre à profit, de manière à se servir d’elles, et non pas l’inverse.

Oui, j’ai eu tellement peur depuis mon enfance, en partie avec ce que j’avais vécu et ce que je craignais (la peur à nouveau) de vivre si j’empruntais les sentiers battus. Et je peux dire, aujourd’hui, que je choisi de garder cette peur à coté de moi, de la regarder et de lui dire que j’ai conscience de sa présence, mais surtout qu’elle ne me paralyse plus.

Je mise désormais sur l’intuition. Je suis parfois impulsive dans mes décisions et se sont celles que je regrette le moins, car je les définirai comme des occasions saisies, des occasions offertes par le divin, la vie (ou quelque soit la manière dont tu l’appelles) et qui ne m’ont pas échappé. Je me base sur mon intuition et si vraiment je n’arrive pas à m’écouter je remets la décision d’agir.

Je te souhaite une très belle soirée, ou une très belle journée.

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